L’homme pur dit à la fleur
Tu es jolie !
Je ne te cueillerai pas
Pas le moins du monde !
Je serai là.
Simplement.
Tu es si jolie !
Une drôle de fleur !
Que j’aime.
D’une espèce que je ne connais pas.
Je ne te cueillerai pas.
Ne te ferai pas de mal.
Je serai là.
Je viendrai t’arroser !
Alors la fleur s’est arrêtée de faner.
Elle a cessé d’être fleur.
Elle est devenue femme
HISTOIRES D AILES ET DE PIEDS LEGERS
vendredi 4 février 2011
L ETRE AIME
Lui
Qui s’approche
Bouche prête
A faire chanter ma vie
J’abreuve mon aura à l’eau de sa peau nue
Sa musique dit l’envol
Des pétales légers…
Qui s’approche
Bouche prête
A faire chanter ma vie
J’abreuve mon aura à l’eau de sa peau nue
Sa musique dit l’envol
Des pétales légers…
GITANE MAGIQUE
Emplie de sa musique à lui
Enivrante
Entêtante
Rassurante
Et soyeuse
Elle se mit à danser…
Il l’appela Gitane.
Elle
Les bras ouverts,
Inondée de poésie
Dansait, tournait
Virevoltait
Pour lui
Qui ne bougeait pas
Pour cet homme
Aux yeux d’écorces tendres,
Qui avait pansé ses blessures.
Enivrante
Entêtante
Rassurante
Et soyeuse
Elle se mit à danser…
Il l’appela Gitane.
Elle
Les bras ouverts,
Inondée de poésie
Dansait, tournait
Virevoltait
Pour lui
Qui ne bougeait pas
Pour cet homme
Aux yeux d’écorces tendres,
Qui avait pansé ses blessures.
EVEIL DE MON AMOUR
Petites touches du bout des lèvres,
Senteurs parfumées à l’aube de tes paupières brunes,
Eveil de mon amour.
Caresse du nénuphar de ma bouche,
La prunelle de tes yeux flotte
Un instant
Au reflet miroitant
De la surface de mon émoi.
Le jardin se pare des couleurs de notre musique intérieure.
Senteurs parfumées à l’aube de tes paupières brunes,
Eveil de mon amour.
Caresse du nénuphar de ma bouche,
La prunelle de tes yeux flotte
Un instant
Au reflet miroitant
De la surface de mon émoi.
Le jardin se pare des couleurs de notre musique intérieure.
COMMUNION DANS L OEUF
Sous tes baisers fougueux mes lèvres se consument.
A ton ardent brasier je m’attise et me frotte.
L’incandescente lave, sève de mon désir,
Fait bouillir la cornue que tu as échauffée.
Jusqu’à perdre le souffle j’échauffe ma passion,
Et dans tes yeux de braise m’enivre de plaisir…
Et le jaune et le blanc de nos âmes s'emmêlent.
La lune et le Soleil célèbrent leur hymen.
Le germe de la vie, paré d'or et d'argent,
Modèle ma peau nue qui devient l'oeuf cosmique,
Extension de nos êtres, puissant et lumineux.
Un monde pur est né, symbolique et parfait.
A ton ardent brasier je m’attise et me frotte.
L’incandescente lave, sève de mon désir,
Fait bouillir la cornue que tu as échauffée.
Jusqu’à perdre le souffle j’échauffe ma passion,
Et dans tes yeux de braise m’enivre de plaisir…
Et le jaune et le blanc de nos âmes s'emmêlent.
La lune et le Soleil célèbrent leur hymen.
Le germe de la vie, paré d'or et d'argent,
Modèle ma peau nue qui devient l'oeuf cosmique,
Extension de nos êtres, puissant et lumineux.
Un monde pur est né, symbolique et parfait.
CARESSE MÉLODIQUE
Caresses symphoniques de tes larges prunelles
Tu m’enveloppes tendrement
Tu m’habilles de ta musique
Pigmentée de rêves étoilés
Tu m’enveloppes tendrement
Tu m’habilles de ta musique
Pigmentée de rêves étoilés
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